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 Entre la culture des perles fines et ceux qui perlent l'inculture, un point commun :le Q.I de l'huitre| Champi <3

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Entre la culture des perles fines et ceux qui perlent l'inculture, un point commun :le Q.I de l'huitre| Champi <3 Vide
MessageSujet: Entre la culture des perles fines et ceux qui perlent l'inculture, un point commun :le Q.I de l'huitre| Champi <3   Entre la culture des perles fines et ceux qui perlent l'inculture, un point commun :le Q.I de l'huitre| Champi <3 Icon_minitimeVen 12 Aoû - 13:40

Titre du sujet

Participants au rp ◈ Zinaïda & Midnight
Cadre spatial de l'action ◈ Escaliers du premier étage.
Cadre temporel de l'action ◈ Mi-Octobre, samedi, peu avant midi.
Statut du sujet ◈ En cours.



-« Hé bah toi, sois tu t’es pris un maléfice de Congonptivite dans la tronche, soit ...»
-« J’ai perdu mon Ecstasyyyyyy !! i__i»
-« Allons bon, tu te drogues maintenant ?»
-« Mon Boursfouf sombre et funeste abrutuiiiie !»
-« ... Ah. Autant pour moi je me repends ...»
-« Ca veut dire que ... Tu t’es déjà pendue ?»
-« Hein ? Ah mais non c’est ...»
-« FOLLE

Zinaïda quitta sa salle commune en pleurant, sous le regard médusé de son amie. Et sous ceux, méprisants, de ses camarades de Serpentard. Bawi. Une serpy qui chiale n’a pas sa plaçe chez les serpys. Mais elle avait perdu sa bestiole quoi. Son Ecstasy. Son Boursouf vert émeraude qui son père lui avait acheté deux ans plud tôt. Son compagnon, son chéri, son fiancé, son doudou, sa mascotte. Envolé, disparu, perdu, introuvable depuis la veille. Un groupe de première année fit un large écart en la voyant débouler à tout brindzingue à l’angle d’un couloir, visiblement inquiets de cette apparition pour le moins décalée. Difficile de passer inapperçue dans une robe gothique style manga noire. Mais soit dit en passant très jolie. Bordée de dentelle blanche en haut et en bas, avec un jolie noeud noir sur l’épaule. Et une paire de New Rock qui lui niquait les jambes. Et des jolies couettes avec une frange toute lisse qui lui donnaient une vraie allure de princesse mangaka cosplayer pour la Japanexp. Bref, tout ça pour dire qu’on voit rarement ce genre d’excentricité dans les couloirs des Serpentard.
S’adossant contre un mur histoire d’essuyer son maquillage qui commençait à couler, Zinäida fut rapidement rejointe pas son amie. Cette dernière entreprit de lui tapoter maladroitement l’épaule.

-« Allez vas, on va le retrouver ton Boursouf hein ... Puis c’pas la fin du m...»
-« Hier soir il est même pas rentrer. C’aurait put me mettre le poux à l’oreille mais ...»
-« La puçe. On dit mettre la puçe à l’oreille.»
-« Parce qu’une puçe ca cause plus qu’une poux ? Pff, laisse moi.»

La cinquième année se remit à courir à travers les couloirs en sanglottant, laissant là son amie. Les murs défilaient à toute allure autour d’elle. Sortant des cachots, la russe se rua vers les escaliers, bousculant au passage un groupe de septième année qui se mit à l’injurier copieusement. Pas le temps de s’excuser, l’heure était grave. On ne peu plus grave. Ecstasy avait disparut. Or, ces temps-ci, mais qui sait ce qui avait pu lui arriver ?! Déjà, les esprits frappeurs qui sillonnaient le château en quète d’une nouvelle victime. Ensuite, les bouffons qui cherchaient de nouveaux cobayes pour expérimenter leurs sorts et épater a galerie. Et enfin, le Croquemitaine. Le pire de tous, assurément. Qui vous emmenait on ne sait ou et vous faisait on ne sait quoi. Naïda frissonna rien qu’à l’idée que son petit protégé puisse tomber entre les pattes d’un tel monstre. Ecstasy, si innoncent, si mignon. Si pratique aussi. Quand il s’agissait de s’infiltrer dans des coins et recoins afin d’espionner. Bah oui, parce que de toute manière Zinaïda elle comprennait le language des Boursoufs, alors c’était pour elle un jeu d’enfant que de décoder les dires de son ami à poil. Enfin de son ami poilu. A poil quand même, mais dans un certain sens 8D. Bref. Toujours les larmes aux yeux, Zinaïda déboula cmme ne furie au troisième étage. Elle avait des chançes de le treouver ici ... Sa bestiole kiffait la salle des trophées, et s’amusait souvent à sauter d’étagère en étagère en faisant le plus de bruit possible. Hilarant quoi. Zinaïda avait découvert ce penchant lors d’une de ses heures de colle, écopée suite à ... Pff, les profs supportaient pas qu’elle customise ses frongues en classe, rien de plus. Enfin bref, ca avait légèrement déplut à la Préfète chargée de la surveiller que de voir sa bestiole foutre le bordel alors que sa proprio’ était censée tout ranger. Mais au diable la dagonçelle, elle s’était bien marrée ! Ce souvenir lui refit monter les larmes au yeux. D’une voix plaintive, elle appela son Boursouf. Pas de réponse. Nouvelle tentative. Toujours rien. Tentant le tout pour le tout, la Serpentard sortit sa baguette magique et lança un sortilège d’attraction. Toujours rien. De rien de rien de rien de RIEN TT.TT. Pénétrant prudemment dans la salle des trophées, elle a fouilla de fond en comble dans l’espoir de débusquer sa boule de poil, sans succès. Elle fouilla ensuite la salle de sortilèges, s’attardant même par l’infirmerie, au cas ou ... Bah ouais. Quelqu’un de bien attentionné, trouant Ecstasy estropié, l’aurait peut-être apporté à l’infirmère. La brunette n’eut pas plus de chance? Sentant le déséspoir le gagner, ainsi que la rage et l’impuissance, elle abattit violemment son poing contre un mur. Ce qui eut pour effet de la faire hurler de douleur, en pignant sur plaçe tout en massant ses jointures. Et d’augmenter encore son dépit. Quand rien n’allait bah ... Rien n’allait. Une fois la douleur appaisée, Zinaïda entreprit de poursuivre son chemin à travers les couloirs; dans un état d’esprit un peu plus pragmatique. Bien. Il devait pas être loin Ecstasy. Parce que c’était un gros dalleux, et qu’il n’avait pas mangé depuis plus de vingt quatre heures. Il ne devait pas s’être enfuit, c’était impossible, donc il devait être retenu quelque part. Par quelqu’un, ou quelque chose. LE CROQUEMITAIIIIINE. Hum, bref. Les yeux rivés vers le sol, la Serpentard se mit en quète d’un quelconque indice qui lui indiquerait que son poilu fugueur soit passé par-là.

-« On cherche quelque chose Kitaëv

Zinaïda releva brusquement la tête, un instant appeurée, persuadée que la voix qu’elle venait d’entendre provenait d’une armure qui bordait l’allée du couloir. Puis se détentit imméditament en reconnaissant son interlocuteur. Pour déglutir tout de suite après. Ce Bouffondor de bas-étage tenait entre ses doigts pleins de miasmes son Ecstasy. SON ECSTASY.

-« RENDS MOI MON POILU !»

Le jeune homme éclata de rire.

-« Rends-le moi ou j’te promets que même la plus en chaleur des minettes de Bouffondor fuira à ton approche ...»
-« Bah voyons ... Ca ma jolie, c’est pour ma soeur.»

Sur ce, il partit en courant. Zinaïda soupira. Ouais bon. Il l’avait mauvaise depuis que sa soeur avait écopée de tout un trimestre d’heures de colle pour une connerie qu’elle n’avait pas commise, mais pour laquelle Naïda s’était empresser de lui faire porter le châpeau. Quelqu’un avec quelques neurones de plus l’aurait félicité pour la finesse dont elle avait fait preuve en manipulant cette greluche u.u. Mais faut croire que chez Gryffondor, les valeurs se perdent. Sans se faire prier, la Serpentard se rua à sa suite en lui gueulant des injures en russe. Le roue et or finit par s’arrêter net, juste en dessus de la rembarde des escaliers en tenant le petit Boursouf terrifié à bout de bras.

-« Kitaëv, parlons peu mais parlons bien. Que dirais-tu de retrouver ton monstre quelques étages plus bas, plus plat qu’un crèpe au froment ? Tentant, vraiment ... L’air de rien tu fais moins la fière quand t’as pas ta tarée de de Midnight pour te servir de gorille hum ?»
-« J’VAIS TE HÂCHER MENU CONNAAAAAARD

S’emprarant d’une lance qui trainait sur une armure non loin d’elle, Zinaïda l’abattit avec forçe en plein sue le crâne d’un jene homme. Celui-ci lâcha un grognement de couleur, qui se mua en un cri de douleur quand la Serpentard lui envoya le plat de son arme de fortune en plein dans le nez, puis sur le nuque, dans le ventre, et de nouveau sur le crâne. Zinaïda, c’est un gentil Bisounours un peu décalé qui veut au pays du Magicien d’Oz. Mais qui se transforme en Terminator dès qu’on touche à son Boursouf. Et insulter sa Night par dessus le marché n’arrangeait rien. Laissant libre cours à son fureur encore quelques instants, la cinquième année lâcha brutalement son arme en étouffant un cri. Se ruant vers la rembarde, elle assista, impuissante, à la chute d’Ectasy du haut du Troisième étage. Elle poussa un long gémissement, et sans plus se préocuper du Gyffondor qui gisait à ses pieds, se précipita dans les escaliers. A bout de force, le souffle court, quelle ne fut pas sa surprise en apperçevant sa boule de poil émeraude dans les mains d’une jolie petite brune aux yeux bleux. Sans plus de cérémonie, Zi’ se jeta dans les bras de Night, en pleurant toutes les larmes de son corps tout en la rermerçiant en l’étranglement à l’en étouffer.

Zinaïda quand on cherche son nom dans le Larousse, on tombe sur la définition de Boulet 8D.
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