De quel sang êtes vous ?
Je suis Sang-Mêlé. Mais on s'en fout, non ? C'est que du sang. Ca a toujours la même couleur. Sérieux, ça sert à quoi d'en faire toute une histoire ?

Pour les élèves appartenant déjà à des maisons (c'est-à-dire les postes vacants), quelle est-elle ?
J'suis chez Gryffondor ! La classe, hein ? Comme le fameux Harry Potter ! Mes parents disaient qui j'irai à Poufsouffle ... mais non. AHAH ! J'en suis vraiment fier.

Quelle baguette mister Ollivander, ou mister Gregorovitch vous a-t-il vendu ? Ou bien, quelle est la baguette que vous avez hérité de vos aïeuls ? (bois, cœur, taille, principale qualité)
J'adore ma baguette. En fait, je dis même à tout le monde que c'est la meilleure. Elle est en bois de charme, dedans il y a des crins de licornes et elle mesure 28,5 cm. Et quand je dis que c'est la meilleure, eh bien ... je suis très sérieux !

Si vous aviez la capacité de créer un Patronus, quelle forme prendrait-il ?
Mon Patronus est un singe saimiri. Il est sympa, je le trouve amusant. Je m'attendais à un truc plus classe, comme un lion. C'est sacrément cool un lion ! Mais je l'aime bien mon singe, au final.

En rangeant un peu les armoires pleines de poussières de la maison de votre grand-mère, vous tombez sur un épouvantard, en quoi se transformerait-il ?
Oh. Ca. Une voiture. Ouais, une voiture. Mais je ne veux pas en parler.

Quelles sont vos matières de prédilection ? (potions, défenses contre les forces du mal, astronomie, sortilèges ...)
Je suis très bon en Métamorphoses et Sortilèges. J'adore ces deux matières, et puis ce sont les plus importantes je trouve. Et honnêtement, j'aimerais bien essayer d'être Animagus un jour. Vous vous imaginez ? Ce serait trop cool !

Si vous êtes en 6ème ou 7ème année, quelles matières avez-vous choisi pour tes ASPIC, combien de BUSE avez-vous eu, et quel métier désirerez-vous faire plus tard ?
Hum, attendez, attendez ... Ah oui, voilà :

- Métamorphose : Optimal.
- Enchantements : Optimal.
- Etude des Moldus : Piètre.
- Potions : Effort Exceptionnel.
- Botanique : Acceptable.
- Astronomie : Acceptable.
- Soins aux Créatures Magiques : Acceptable.
- Histoire de la Magie : Effort Exceptionnel.
- Sortilèges : Optimal.
- Défense contre les Forces du Mal : Acceptable.

J'ai rien oublié, hein ? Eh bah voilà. Je suis plutôt bon élève. Enfin, c'est un peu obligé si je veux finir par travailler à Ste-Mangouste. Comme Lucy. Sauf que moi, ce sera dans le service psychologie.

Avez-vous un talent particulier ?
Hum, non, pas à ce que je sache. Ah moins que vous parliez de mon sex-appeal surnaturel ? 8D

Introduction

Quand vous regardez Aaron Stanley Haldane, que voyez-vous ? Oui, dites-moi ce que vous voyez. Ce que vous déduisez. Ce que vous vous dites. Vous pensez qu’il s’agit de toute évidence d’un garçon joyeux, rigolard, généreux et possédant l’esprit d’un gamin de six ans dans un corps de dix-sept, mais que c’est mignon parce qu’il reste travailleur, amusant et intelligent. D’autres se disent qu’il est trop perturbateur, trop vivant, et trop immature. Mais que vous voyiez le bien en lui ou le mal, vous faites tous la même erreur. Vous ne regardez pas plus loin. Vous n’essayiez pas de comprendre celui qui se cache derrière tout ça. Vous vous contentez de vous faire l’image de ce que vous voyez et le classez dans une catégorie. Celle des sympas ou des chieurs. Eh bien vous êtes tous stupides. Vous ne vous êtes jamais demandé si cette immaturité, cet air qui peut parfois vous faire croire qu’il n’en a rien à foutre de ce que vous dites est faux ? Qu’en fait ça l’intéresse ? C’est une impression, et tout le monde ne l’accepte pas. Tout le monde se contente de la première opinion. Presque tout le monde en fait. Comment quelqu’un d’aussi gentil et généreux qu’Aaron, malgré ses blagues et son côté boute-en-train, pourrait-il n’en avoir rien à foutre ? Sérieusement ? Tsss. Mais là n’est pas où je veux en venir. Je veux juste que vous regardiez plus précisément, que les imbéciles qui se moquent de ses gamineries, que ceux qui le surnomment parfois ‘Parkinson’ et que ceux qui profitent de son incapacité à réagir s’il se fait tabasser par eux regardent plus loin que la main tremblante et les blagues, plus loin que le bout de leur nez. Je vous invite maintenant à comprendre. A comprendre pourquoi. Pourquoi sa main tremble quand il n’est pas en activité, pourquoi il fait preuve d’abnégation, pourquoi il a le cœur sur la main, pourquoi les voitures l’effraient tant, pourquoi il se tait quand on lui pose une question sur certaines parties de son passé. Parce qu’Aaron ne vous en parlera jamais, moi, je vais le faire. Voici les moments-clés de son histoire.

Juillet 2010

« Emma, viens ! Allez, s’il-te-plait, viens ! »
« Nan, je n’veux pas ! Pas sans papa et maman ! »

Un petit garçon, debout sur le trottoir, tendait la main vers une fillette un peu plus jeune que lui. Tous deux étaient âgés de neuf et sept ans, et étaient frère et sœur. La gamine restait dans le jardin, visiblement pas rassurée à l’idée de dépasser la limite de celui-ci pour rejoindre son grand-frère. Il voulait aller dans le petit parc, de l’autre côté de la rue, à la fois si proche et si loin. Elle ne se sentait pas en sécurité sans ses parents. Y aller sans eux ne la rassurait pas. Emma avait confiance en son grand frère, mais traverser la rue seule avec lui l’effrayait. Aaron par contre, était tout ce qu’il y a de plus détendu. Il savait comment passer. Il fallait regarder à droite, puis à gauche, pour voir si personne n’arrivait, et puis il pouvait y aller, sans rien risquer. Ce n’était pas bien difficile. Et il allait en convaincre sa sœur. La rassurer. Ils allaient jouer au parc, sans avoir de problèmes. Désobéir à papa et maman n’était pas si grave. Juste une fois. Il s’approcha d’elle, souriant et rassurant. Le garçon lui prit la main et la tira gentiment vers lui.

« Allez ... on va s’amuser, tu ne risques rien, je te le promets. Fais-moi confiance. »

Emma ne sembla pas tout de suite convaincue, mais face à l’air convaincant de son aîné, elle finit par lui sourire et serrer sa petite main dans la sienne. C’était de son grand-frère qu’il s’agissait après tout. Ils s’avancèrent vers le trottoir, main dans la main. La route était assez large, mais il n’y avait pas grand monde. Juste un camion qui arrivait au loin, du côté droit. Prudent, Aaron décida d’attendre que celui-ci passe, pour plus de sécurité. Lorsque l’énorme ‘voiture’ arriva à leur hauteur, elle s’arrêta pour les laisser passer. Les deux enfants regardèrent à gauche. Rien. Et à droite, le camion bloquait le passage. Alors, ils s’avancèrent. Et n’entendirent pas une autre embarcation arriver en trombe. Et ne virent pas le chauffeur du camion faire soudainement de grands gestes. Comme ils ne remarquèrent qu’au dernier moment la voiture doubler le camion. Le temps d’un quelques secondes, c’est ce qu’il fallut pour que retentisse un crissement de pneus, que le gamin regarde sa sœur avec horreur et que le choc se fasse sentir. Puis tout fut trouble. Incertain. Par contre il entendit parfaitement, et ressentit. Il entendit des paroles incompréhensibles, le cri d’une mère désespérée, et ressentit une douleur atroce dans tout le corps. Et il ne pouvait rien faire. Juste endurer et écouter. Il voyait du sang, et des gens s’agiter autour de lui. Avant qu’il ne perde complètement connaissance, seul un mot parvint à ses oreilles, suivit du son des sirènes :

‘Morte’.

Août 2010

Tout le monde le sait, la vie n’est pas juste. Après son malencontreux incident, Aaron dut rester trois semaines à l’hôpital afin de guérir sa jambe blessée. Il crut pendant tout ce temps que ses parents ne lui pardonneraient jamais. Cependant, comme le chauffeur du camion, qui avait assisté à la scène, avait tout répété de ce qu’il s’était passé aux autorités et aux parents, ceux-ci surent que leur fils, à part être parti sans autorisation tandis qu’ils vaquaient à leurs occupations, n’était pas du tout en faute. Seul le chauffard était à blâmer. Il fut d’ailleurs sévèrement puni. Mais on eut beau répéter tout cela au jeune garçon, il ne put jamais complètement se pardonner. C’était tout simplement trop pour quelqu’un d’aussi jeune. Comme il arrivait à surmonter cette histoire petit à petit, malgré le choc causé, ses parents n’eurent recours à un psychomage que durant son séjour à l’hôpital, après quoi ils prirent leur fils en charge eux-mêmes, sans savoir qu’il souffrait toujours énormément de la disparition de sa petite sœur. Ils crurent que les choses passeraient et décidèrent d’organiser un pic-nic familial, pour changer les idées du petit Aaron, autant que les leurs. Leur fille venait de mourir, après tout.

Ce fameux pic-nic se passa tout d’abord bien. Il se situait prêt d’une rivière, sous le soleil de l’été. Rien ne semblait pouvoir perturber cette atmosphère paisible. Les parents discutaient calmement et racontaient leur chagrin, les enfants jouaient et Aaron reprenait des couleurs et recommençaient à faire de son humour habituel, tout en évitant brusquement comme soigneusement les questions de ses deux cousines concernant son récent accident. Ils jouèrent, toute l’après-midi. Mais fatigué par sa jambe encore fragile, le jeune Haldane alla s’asseoir sur l’herbe, éloigné des deux petits groupes. Jusqu’à ce qu’un hurlement retentisse et qu’il se lève soudainement pour courir en provenance du son, qui l’amena jusqu’à la rivière. Il y vit une de ses deux cousines se débattant dans l’eau, l’autre hurlant le nom de sa sœur sur la rive, ne sachant pas quoi faire, jusqu’à ce qu’elle ne le voie.

« Aaron ! Aaron, viens m’aider ! S’il-te-plait, viens ! Aaron ! »

Mais il ne bougeait pas. Il ne pouvait pas. Il n’y arrivait pas. Son corps refusait de réagir. C’était trop pour un gamin de sept ans en si peu de temps. Sa sœur était morte en partie part sa faute, et voilà que seulement trois jours après sa sortie de l’hôpital, il voyait sa cousine qu’il adorait se noyer, en sachant très bien qu’il ne pouvait rien faire pour l’aider. En cet instant, il était tétanisé, effrayé, choqué. Tout ce qu’il lui arrivait n’était pas juste. Et avant que les parents n’aient pu faire quoi que ce soit, le corps de la petite fille flottait sur les eaux tandis qu’il pleurait en silence.

Septembre 2010 à Juillet 2014

Monsieur et Madame Haldane commencèrent à vraiment s’inquiéter pour leur fils quand une semaine après les faits, ils ne purent que constater que Aaron n’allait pas mieux. La mort de sa sœur suivie de celle de sa cousine l’avait complètement démoralisé. Il ne jouait plus, ne blaguait plus. C’était à peine s’il souriait encore. Ses parents étaient complètement déstabilisés de voir leur enfant si mal, alors qu’il était d’habitude si enjoué, si entrainant. Si plein de vie, en fait. Et ce qui les perturbait aussi était de voir que celui-ci développait un tremblement de sa main gauche lorsqu’il n’était pas en mouvement. Tremblement que le pauvre garçon ne maitrisait pas le moins du monde. Les Haldane décidèrent donc d’aller revoir le psychomage de l’hôpital, qui prit Aaron en charge. Les progrès se virent petit à petit, mais le ‘traitement’ dura malgré tout jusqu’à un mois avant son entrée à Poudlard. Pendant ces années, son docteur apprit aux parents que le tremblement de leur fils était dû au stress post-traumatique suite aux deux incidents, et qu’il le garderait plus que probablement jusqu’à la fin de sa vie. Ce même docteur devint vite un confident pour son patient, et il permit à celui-ci de laisser le passé à sa place, à reprendre sa vie en main.

Après quelques années, il redevint le garçon marrant qu’il avait été, mais développa en plus, au fil du temps, un besoin de venir en aide aux plus faibles, une grande générosité et moins sympa : une incapacité à réagir pour se défendre. Son passé le rendit incapable de faire du mal à qui que ce soit, même pour sauver sa peau ... ou celle de autres. S’il se fait taper, il ne réagit pas et encaisse en silence. Si quelqu’un qu’il apprécie se fait tabasser sous ses yeux, malgré son esprit qui lui hurlera de venir en aide, de venger, son corps refusera de faire le moindre geste pour heurter l’agresseur – le problème est également du à ce qui lui est arrivé – alors il fera la seule chose possible : s’interposer et protéger de son propre corps. Ca peut sembler fou, mais le problème est dans sa tête, ancré dans son cerveau. Il pourrait mourir d’envie de frapper quelqu’un, il ne le ferait pas. Parce que son cerveau ne le permet pas. C’est comme ça et il n’y a rien à y faire. Son psychomage ne put jamais régler ces deux conséquences du passé du jeune garçon. En plus de sa peur des voitures. La magie soigne bien des choses, mais pas ce genre. Il réussit par contre à limiter les dégâts psychologiques à un refus catégorique de parler du passé à quelqu’un qui n’est pas de confiance.

Septembre 2014

Aaron Stanley Haldane fut l’un des derniers à entrer dans le Poudlard Express. Il était terriblement excité à l’idée d’entrer à Poudlard, mais aussi terrifié. Sa vie avait beaucoup reposé sur celle de ses parents jusqu’ici, il s’agissait donc d’un au revoir difficile. Ce fut pourtant sans en regard en arrière que la porte du train se ferma derrière loin. Il chercha pendant cinq bonnes minutes une place, sans succès. Tout le monde avait été plus rapide que lui, et il ne connaissait personne. Il finit par s’en trouver une dans un wagon ... plein de roux. Il n’était pas stupide. Autant de roux avec un air de famille ... il ne pouvait s’agir que de Weasley. D’un regard timide, il demanda s’il pouvait se joindre à eux. Lui qui avait prévu de rire tout le voyage se retrouvait maintenant bien gêné de la situation, et étonnamment timide. Bah, il lui suffirait de se détendre pour commencer à parler et ne plus s’arrêter. Le jeune garçon s’assit donc à côté de la plus jeune des rousses présente, près de la fenêtre, tenant un chaton gris très câlin dans sa main droite. Ses parents le lui avait offert pour qu’il ‘ne se sente pas seul’. Il n’estimait pas en avoir besoin, mais il l’adorait déjà. Et avait insisté pour l’appeler Emma, comme sa petite sœur. Pour qu’elle ‘découvre Poudlard avec lui’. C’est beau, l’innocence des jeunes. Et dans ce cas-là, un peu triste aussi. Mais bon. Il déposa le fragile félin sur ses genoux, celui-ci n’hésita d’ailleurs pas une seconde à se coucher pour faire un somme. Si deux des Weasley finirent par l’oublier pour discuter entre eux, sa voisine, elle, sembla un peu plus intriguée, malgré qu’elle resta calme et posée. Comme lui au fait. Il n’osait pas prendre la parole. Tout le monde connaît les Weasley de nom, normal qu’il se sente impressionné, le pauvre ! Surtout quand on sait que ses contacts avec d’autres jeunes n’ont pas été très fréquents depuis ses accidents. Etant donné qu’il ne faisait rien de son corps sinon caresser son chat de la main droite, la gauche commença petit à petit à trembloter, comme d’habitude. Aaron essaie d’ailleurs de le cacher, mais ce n’est pas très facile quand vous êtes droitier, que vous travaillez ou ne faites rien à l’instant. Tremblement qui sembla attirer l’attention de la jeune et mignonne Weasley.

« Est-ce que ta main tremble parce que tu es anxieux ? A cause de la répartition ? C'est normal, je suis un peu stressée aussi. Moi c’est Lucy, ravie de te rencontrer. »
« Aaron Haldane, ravi. Non ça va ... c’est juste ... c’est parce que tu es jolie ! »

Ils se sourirent. Que c’est mignon, l’innocence des enfants. Bien sûr ce n’était pas vrai, et Lucy était assez intelligente pour le savoir, mais le futur Gryffondor ne la connaissant pas encore bien, il n’était pas prêt du tout prêt à en parler. Il mit donc sa main dans la poche de sa robe de sorcier, pour la cacher. Jeune comme il était, normal qu’il ne se rende pas compte que ce n’était pas grave et que ça le gêne. Il le comprendrait avec le temps. Aaron passa donc le voyage dans le wagon des Weasley et sympathisa avec sa voisine, se détendant petit à petit et commençant à laisser voir son côté rigolard et un peu trop joyeux. Elle restait calme mais souriait. Il faut croire que ça lui a plu, puisque après avoir été répartis dans la même maison, Gryffondor, ils se lâchèrent de moins en moins.

Jusqu’à maintenant ...

Ils s’entendirent si bien qu’elle fut la première à qui il parla des événements peu glorieux de son passé, quelques mois après leur entrée dans l’école. Bien sûr – et hélas aussi – il y eut des choses moins amusantes que faire rire la classe, se promener dans les couleurs en rigolant et recevoir de bonnes notes. Il y a toujours les imbéciles et les profiteurs qui se moquent. Les enfants sont cruels, ce n’est pas nouveau. Certains le restent en grandissant. Et le pauvre Aaron en paie les frais. Vous pensez bien que les grosses brutes ont trouvé dans sa main tremblotante et son incapacité à réagir une raison de passer leurs nerfs sur lui. Mais bref, ça ne suffit pas à lui gâcher le moral, nan mais ! Et ça n’en fait pas l’omega de service, faut pas exagérer. Malgré qu’Aaron ait bien grandi entre sa première et sa septième année, il reste un vrai gamin dans l’âme, ce qui a pour effet d’en exaspérer plus d’un ou d’en amuser les autres. Si la calme Lucy Weasley arrive – ou pas – à le supporter ... les autres le devraient aussi ! Rappelez-vous, il suffit de regarder plus loin.

Eh bah, je m'appelle Bérénice - mais je préfère que l'on utilise mon pseudo, Kachi' - et j'ai 15 ans. Je suis Belge, notons-le. J'ai résisté un moment à venir ici, mais Champi' a trouvé le bon moyen de m'appâter, la vilaine ! Je suis une vraie geek, ainsi qu'une Whovian - c'est-à-dire que je suis fan de Doctor Who, bande d'incultes - et une Tennantienne - fan de David Tennant, contrairement à mon avatar - endurcie. Non mais vraiment, je suis un cas. J'ai des tas de goodies allant des soundtracks aux figurines en passant par les bouquins concernant Doctor Who. Et ma fanatittude pour David est vraiment très forte. Si bien que je lui ai envoyé trois lettres, un message de moi lui a été lu à la radio et j'ai été le voir dans sa pièce de théâtre Shakespearienne à Londres, sans oublier que je lui ai offert un panier rempli de spécialités belges. J'ai trois autographes, dont un obtenu ce jour-là. Celui qui ose dire que je ne suis pas fan, je le mange 8D. Je compte bien sûr tous vous convertir à Doctor Who, comme je l'ai fait avec Champi' qui était une proie vraiment très difficile. Pourtant regardez-la maintenant, si ce n'est pas triste x). Quand on me demande ce que je veux faire plus tard, je pense : "Faire une photo avec David" mais je réponds que je ne sais pas du tout quoi, bien sûr. Parce que oui, je ne sais pas quoi faire de ma vie sinon vivre mes passions qui sont David, Doctor Who, la lecture et le RPG. Je suis vraiment grave, hein. Faites attention car je suis dangereusement sadique - autrement dit j'adooore faire souffrir mes persos, vous le comprendrez en lisant l’histoire d’Aaron XD et pas mal perverse aussi. Mais promis, j’essaierais de ne pas trop vous effrayer. M’enfin bon, je m’arrête là. Et comme je m’en doutais, je n’ai parlé pratiquement que d’une seule chose, ahem 8D. Ah oui, mon avatar est Matt Smith. Et ça fait 6 ans que je fais du RPG. Oh, et j’aime Champi’. C’est ma Champi’Divine. ♥ + K ♂ 16/08

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