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 “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”

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“L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”  Vide
MessageSujet: “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”    “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”  Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 21:38



Image par Poon x Cartoon Music - Wich Doctor.
L'ouvrage a toujours l'air facile,
Quand le travail est un plaisir.

Participants au rp ◈ Lucy Weasley & Aaron Haldane.
Cadre spatial de l'action ◈ Parc de Poudlard.
Cadre temporel de l'action ◈ Mois d'Octobre, samedi après-midi, après l'entraînement de Quidditch.
Statut du sujet ◈ En cours.


« Non, non, NON ! James, arrête de faire le couillon en vol, et concentre-toi ! Tu as déjà laissé passer deux fois le Souafle que je te passais ! »
« Ouais, ouais … »
« Lucy, arrête de t’intéresser aux performances du gardien et reste concentrée sur le vif d’or, je suis sûre que tu pourrais l’attraper plus rapidement que ça ! Si tu réussis ça le jour du match, les Serpentard n’auront même pas le temps de placer un point qu’on aura déjà gagné, ce serait bien ça non ?! »

« Oui Dominique, je vais faire du mieux que je peux. »

L’équipe tapa du pied et s’envola dans les airs. Une fois en vol, Lucy remit ses lunettes sur ses yeux et empêcha ses cheveux de se coincer dans les lanières, attendant le top départ du capitaine, sa cousine Dominique Weasley. Elle ferma les yeux pour extraire de sa tête tous les bruits extérieurs et les pensées parasites, attendant calmement le coup de sifflet. Quand il vint, elle rouvrit les yeux et fit siffler sa Flèche d’Asgard en faisant un demi-tour en dérapage contrôlé, pour partir de l’autre côté en cherchant le vif d’or de ses yeux d’aigle. Elle le trouva au bout de deux minutes passées à tourner en rond, suivant distraitement le reste de l’entraînement. James avait eu le temps de tirer trois fois pour ne marquer qu’un seul but, Dominique avait failli se bouffer un cognard … D’ailleurs, un cognard arrivait droit vers elle. Elle l’esquiva d’une roulade astucieuse et attrapa la balle jaune ailée dans la foulée, sifflant dans le petit sifflet que lui avait remis Dominique pour lui dire auditivement qu’elle venait de l’attraper. Elle lâcha le vif d’or et partit en sens inverse, pour le retrouver cinq minutes plus tard, l’attraper, et siffler. Ce ne fut qu’au bout d’une heure et demie que le capitaine fit cesser l’entraînement vu qu’il commençait à pleuvoir. Doucement au début, puis de plus en plus fort, tellement fort qu’ils n’arrivaient plus à se distinguer et que les poursuiveurs ne voyaient plus les buts. Quand Dominique siffla comme une malade pour qu’ils redescendent tous, Lucy fit un dernier tour de stade pour attraper le vif d’or et redescendre avec, courir dans leurs coulisses qui portaient leurs couleurs et le ranger dans la boîte des Gryffondor.

« Bon alors. Dès que le temps sera plus clément dans les jours à venir, on retourne à l’entraînement, je refuse qu’on perde face à ces tricheurs de Serpentard. Lucy, tu as le vif d’or ? »
« Je l’ai rangé dans la boîte. »
« Parfait ! Je vous recontacte pour le prochain entraînement, en tout cas celui-là est terminé, vous pouvez vous disperser. »

Lucy se laissa tomber sur un banc et attrapa sa serviette pour se sécher vigoureusement les cheveux avant de s’enrhumer. Elle enleva ensuite sa robe de Quidditch, se fichant de se retrouver en sous-vêtements devant les garçons de l’équipe. Chacun s’occupait de sa pomme et pas des autres, personne ne reluquait personne, puis Lucy n’était, de toute manière, pas très pudique, enfin il y avait des limites. Elle s’enroula dans sa serviette en faisant craquer les muscles de son cou, papotant tranquillement avec un des batteurs de l’équipe des rumeurs selon quoi des élèves anti-cracmols prépareraient un mauvais coup. Lucy, préfète en chef, trouvait inadmissible et scandaleux qu’on puisse rejeter des gens pour leur différence. Mais d’un côté c’est une Weasley. Oui, son père était resté pendant des années du côté du ministère de la magie, traitant Dumbledore de fou, avant de revenir brusquement vers sa famille. Lucy était pareille, elle montrait une opiniâtreté sans précédent mais savait reconnaître ses torts. Là, elle ne s’estimait pas en tort en collant ceux qui s’en prenaient aux Hippochoris, par contre ! Elle se rhabilla rapidement, et quitta le vestiaire en même temps de sa cousine, lui prêtant gracieusement son parapluie. Les deux Weasley coururent jusqu’au château et remontèrent jusqu’à leur salle commune en soupirant de soulagement.

« Lucy ! »
« Oui, quoi ? »
« Aaron te cherchait, il avait l’air tout excité, il a quitté la salle commune il y a cinq minutes. »
« Ok merci. Je vais prendre une douche et je vais le chercher. »

La rouquine sourit gentiment au Gryffondor qui avait levé les yeux de la Gazette du Sorcier pour l’avertir, et grimpa jusqu’à son dortoir pour récupérer des habits chauds dans sa valise. Elle s’enferma ensuite dans les douches, pour mettre le jet à une chaleur presque bouillante, se fichant de la chaleur qui mordait sa peau et de la vapeur qui s’élevait de sa cabine. Après s’être bien réchauffée, elle se sécha, se rhabilla chaudement, se maquilla et se recoiffa, avant d’enfiler une grosse paire de chaussettes pour mettre ses Doc Martens sans se pourrir les talons. Récupérant son sac de classe et son parapluie, elle jeta un coup d’œil par la fenêtre pour se rendre compte qu’il faisait très beau, quoique un peu humide. Elle redescendit donc à sa salle commune, et s’apercevant que son ami n’y était pas, elle partit en direction du parc de Poudlard, où elle comptait se poser pour travailler tranquillement. En effet, le professeur de bilocation et langage aux âmes avait eu la générosité de lui passer des cours d’étudiants en pathologie des sortilèges de Sainte-Mangouste, aussi comptait-elle le potasser pour agrandir sa culture générale. Arrivée dans le parc, elle se choisit un coin tranquille, en plein soleil, et sécha complètement la zone où elle voulait s’installer d’un enchantement relativement simple à ses yeux, avant de s’asseoir en calant une mèche derrière son oreille et sortir son cours. Au bout de quelques instants, elle n’y vit plus rien, parce que quelqu’un venait de poser ses mains devant ses yeux avec un « Qui c’eeeest =D ? » digne d’un gamin de cinq ans qui lui arracha un sourire.

« Aaron, franchement, quel âge tu as ? »

Son ami alla s’asseoir en face d’elle, non pardon, se vautra devant elle sans la moindre grâce, lui arrachant un nouveau sourire amusé. Sortant un critérium de son sac, elle marqua légèrement l’endroit où elle en était et souligna les choses qu’elle n’avait pas comprises, et dont elle irait demander éclaircissements à son professeur. Puis elle posa sa feuille sur ses genoux, refermant aussi les deux bouquins ouverts devant elle. Parce que oui, Lucy, quand elle bosse, elle a son cours plus des bouquins à côté pour s’instruire davantage, ce qui avait tendance à faire flipper Roxanne. Aaron aimait bien la charrier à ce propos alors qu’il faisait exactement la même chose, ce vieux fourbe.

« Alors, tu voulais me dire quelque chose ? Il paraît que tu étais ‘tout excité’ en quittant la salle commune. Et tu ne m’as pas trouvé parce que j’étais en entraînement, Dominique se déchaîne, elle veut à tout prix qu’on écrase les Serpentard. Question de rivalité inter-maisons, je présume ! Enfin bref, que veux-tu me dire ? »

Mettant une main dans son sac, elle sortit de quoi manger un peu. Eh, elle s’entraîne depuis le début de l’après-midi, elle, alors bon. Elle posa le paquet en plein milieu, sachant qu’Aaron ne lui demanderait pas son avis pour se servir. Quel malpoli 8D.

« Eh oui, j’ai faim, pas de commentaires ou sinon … »

Regard pétillant, sourire amusé. Genre elle allait le coller x).
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MessageSujet: Re: “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”    “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”  Icon_minitimeVen 19 Aoû - 19:42

« Emma ! Emmaaaa-aaaa ! »
...
« Emma t’es oùùù ? »

Aaron Stanley Haldane faisait le tour des couloirs depuis le début de la matinée, à la recherche de sa vieille amie, pas du tout discret, celle-ci étant disparue depuis maintenant deux jours et demi. Alors que d’habitude, elle ne partait jamais plus longtemps que deux jours exactement. Elle venait toujours dormir près de lui la nuit, une fois sur deux, comme pour lui dire qu’elle était là, qu’elle n’était pas partie et que tout allait bien. Et là, elle n’était pas venue, ce qui l’avait directement inquiété. Etant en weekend, il avait pu se consacrer à ses recherches sans risquer de se faire réprimander pour gueulage dans les couloirs, ou encore pour avoir tout simplement manquer les cours. Mais je vous l’assure, même s’il avait été en semaine, il aurait fait de même, peu importe les punitions. Son chat était trop important pour lui, non mais ! Parce que oui, Emma est une chatte, surprise ! Tandis qu’il criait son nom dans tous les recoins de l’école, les élèves le fixaient soit avec amusement, soit avec un air moqueur, ou encore même avec un regard attendrissant. Il fallait avouer que même si le Gryffondor avait dix-sept ans et en paraissait cinq dans sa tête, il était trop gentil et généreux pour qu’on puisse le considérer comme étant un stupide gamin. Enfin, les gens sympas pensaient comme ça, les autres étaient moins compréhensifs. D’autres même pas compréhensifs du tout, mais ça c’était une toute autre affaire, et ce qui l’intéressait, c’était retrouver sa petite compagne grise.

Ce fut après deux heures de fouilles – eh oh, Poudlard et ses alentours c’est grand ! – il finit par entendre un miaulement familier pas loin des serres. Le jeune homme accourut, écoutant attentivement pour bien localiser son chat. Enfin, Aaron déduisit que son Emma devait être à l’intérieur de la deuxième serre. Dont la porte était fermée pour le weekend. Bien sur. Elle avait du se retrouvée enfermée le vendredi soir, ce qui expliquait son absence durant la nuit ! Bon, au moins, il savait où il se trouvait, et la porte fermée à clé n’était pas un problème. Il sortit sa baguette en bois de charme de sa poche de robe de sorcier. Sérieux, les profs prennent vraiment les élèves pour des incompétents. Rien de plus facile que d’ouvrir une porte, on apprend ça en première année ! M’enfin bon, d’un côté, qui aurait voulu entrer dans les serres pour le fun, durant le weekend alors qu’il y a plein d’autres choses à faire, mmh ? Lui, visiblement, sauf qu’il ne faisait pas ça pour s’amuser. Ô Miracle !

« Alohomora. »

Un bruit métallique retentit et il entra dans la salle, son regard vert cherchant sa chatte. Qu’il n’eut pas besoin d’aller trouver, vu que ce fut elle qui vint se frotter contre ses jambes en ronronnant avec force. Elle était contente de revoir papa, heiiin ? ♥ Le Gryffondor se baissa pour prendre l’animal dans ses bras en murmurant des paroles rassurantes. La pauvre, enfermée avec ces horribles plantes pendant des heures ! Le jeune homme sortit du lieu et ferma la porte derrière lui, direction la salle commune. Il comptait bien la laisser là pour la journée. Il était sur qu’elle allait se lover dans sa couette et piquer un joli somme. Il en profita pour jeter un œil au ciel. Découvert, c’était bien. Il allait pouvoir courir après Lucy pour lui dire qu’il avait retrouvé Emma, youpiii ! \o/ Arrivé dans le dortoir des garçons de Gryffondor, il laissa la grise sur son lit, la caressa un peu avant de sortir dans la salle commune en n’étant pas loin de courir comme un malade. Trouver Lucy. Lui diiire. Sauf qu’elle n’y était pas. Sûrement dehors. Il ignorait si elle avait un entrainement de Quidditch aujourd’hui, ne lui ayant pas demandé la veille. Elle était attrapeuse, la classe quoi. Un élève, entrain de lire la Gazette du Sorcier, leva les yeux de celle-ci pour le regarder fouiller la salle des yeux avec amusement.

« Tu cherches quelqu’un, Aaron ? »
« Euh ouais, Lucy ! Je vais aller voir dehors, tu peux lui dire que je la cherche si tu la vois, s’teplaiiit ? »
« Pas de problème. »

Il était tombé sur une connaissance qui n’était pas trop dérangée par son comportement d’enfant, tant mieux. Il n’avait pas vraiment envie de subir des moqueries sur ses manières maintenant. De toute façon, il avait tendance à les ignorer, mais ça ne faisait jamais plaisir. Mais bref. Il repartit aussi vite qu’il était venu après l’avoir remercié avec enthousiasme, un grand sourire béat scotché aux lèvres, plein d’énergie. Irrécupérable Aaron-chou. Alors Lucy, hum, où pouvait-elle bien être ? Se disant qu’il finirait bien par tomber sur elle, et la connaissant suffisamment pour savoir où elle irait par ce temps, il traîna un peu avant de rejoindre le parc, assez pour qu’elle y arrive avant lui. Si là était sa destination, mais il était quasi-sur d’avoir raison. C’est sa meilleure amie, non mais ! Le parc justement, et sa jolie pelouse verte bien coupée, un peu mouillée, était pas mal occupés. Normal, les élèves sachant très bien qu’ils devaient profiter des derniers rayons de soleil avant l’automne. Aaron repéra Lucy dans un coin plus tranquille. AHAH. Il le savaiiit \o/ La Weasley – j’suis le meilleur ami d’une Weasley, yeaaah – était une fille calme, qui aimait le calme et cherchait donc le calme. Ca va pas durer longtemps ma jolie, j’arriiive ! Il s’approcha discrètement par derrière et, avec des gestes digne d’un expert – on voit qu’il a fait ça toute sa vie, hein – il posa ses mains sur les yeux de la rouquine. GOTCHA !

« Qui c’eeest ? =D »
« Aaron, franchement, quel âge tu as ? »
« J’ai l’âge que j’avais hier, très chère 8D »

Haldane s’assit lourdement en face d’elle, en constatant qu’elle étudiait, armée de deux bouquins et d’un sourligneur. Elle les ferma et le regarda. Lui lui sourit de toutes ses dents. Elle lui demanda pourquoi il la cherchait. Ah, elle était passée par la salle commune et l’élève à la Gazette lui avait passé le message. Super. Et elle venait de l’entrainement de Quidditch. Il était sûr qu’elle avait été géniale et il serait le premier à l’encourager en gueulant pour tout le stade lors du match.

« Ouep ! J’ai retrouvé Emma, elle était dans les se... DES BISCUIIITS ! »

Sans demander de permission – ouh le vilain ! – le Gryffondor plongea sa main dans le paquet pour en sortir deux gâteries. Il fourra la première dans sa bouche, miam, booon *O* Il n’avait pas mangé ce midi-là, alors bon, il avait un petit creux, le pauvre. D’ailleurs, elle lui fit remarquer qu’il ne devait pas faire de commen...

« J’savais pas que tu te promenais avec des biscuits. JE VOIIIS : c’est pour ça que tu as pris du poids ! Méchante, j’aurais pu éviter de mourir de faim des tas de fois si j’avais su ! ;__; Spayce d’égoïste ! =O »

Le fait qu’il parlait la bouche pleine et son ton joyeux, comme d’habitude, prouvait que ses paroles n’avaient absolument rien de sérieux et que ce n’était rien d’autre qu’une de ses nombreuses manières de la taquiner. Strictement rien de méchant là-dedans, et à force, Lucy devait bien le savoir. Comme toujours lorsqu’elle trainait et qu’il n’en faisait rien, sa main gauche commença à trembloter. A force, il n’y prêtait plus attention, mais le regard des premières années ou des imbéciles était parfois difficile à supporter. Aaron étant un garçon positif et joyeux, il ne se laissait pas pourrir la vie à cause de ça. Il le remarqua malgré tout et y jeta un œil. Bon Dieu que ça le faisait chier. Il avait beau ordonner mentalement à sa main – vous savez, genre ‘RESTE CALME SALE CHOSE èOé’ – de ne pas trembler, il n’y pouvait rien et n’y pourrait jamais rien, en fait. Alors il reporta son attention sur Lucy et lui sourit à nouveau de toutes ses dents. Bonne humeur powa ! Il mordit dans le second biscuit. Miam miam miam ♥

« Oui donc, j’ai retrouvé Emma, elle était coincée dans les serres, la pauvre ! »

Le jeune homme était ravi de l’avoir retrouvée, mais comme il ne s’inquiétait plus, il n’y pensait plus non plus et s’empara donc du premier des deux livres qui lui tomba sous la main. ‘Pathologie des Sortilèges’. Il devint tout à coup sérieux, parce que intéressé, mais son air enfantin restait gravé sur son visage, preuve d’à quel point il était détendu et se mit à feuilleter l’ouvrage. Il savait à quel métier sa meilleure amie se destinait, tout comme le sien. Tous deux travailleraient ensemble à Ste Mangouste, mais dans des sections différentes, elle en pathologie des sortilèges, thème de son livre, et lui en psychologie.

« Ca a l’air intéressant. Tu as appris de nouvelles choses ? Moi j’y comprends rien 8D. T’sais, j’suis plus axé psychologie. Ca va être trop chouette quand on travaillera ensemble ♥ »

Ouep, il comptait bien bosser en s’amusant !
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MessageSujet: Re: “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”    “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”  Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 16:00



Image par Poon x Mika - Big Girls(You Are Beautiful).

A peine installée, à peine dérangée ! Et par qui ? Et par messire Haldane, bien sûr ! Ce grand gamin lui couvrit les yeux avec ses grandes mains en lui demandant d’un ton enfantin qui ça pouvait bien être. Hm, je ne sais pas, allez au pif, le Père Noël ? D’un ton amusé et pas du tout exaspéré d’être dérangée dans ses révisions – avec Aaron, impossible d’être exaspéré plus de quelques centièmes de secondes de toute manière – elle lui demanda quel âge il avait, et plein de bon esprit, le Gryffondor lui répondit le même âge qu’hier, lui tirant un sourire amusé. Mon Dieu, mais quel crétin. Elle secoua la tête, faisant voleter quelques mèches rousses, et en casa une derrière son oreille en souriant.

« Et mentalement ? Cinq ans, six peut-être ? »

Il s’assit lourdement en face d’elle, et elle lui demanda pourquoi il la cherchait. Il devait avoir un truc important à lui dire. Important … Ou pas. Avec Aaron, l’importance prend des proportions différentes de la norme. Acheter un fez au marché tunisien peut avoir une importance des plus urgentes, et terminer un devoir de potions être risible en comparaison de ça. Là où certaines personnes s’exaspéraient de son comportement gamin et changeant, Lucy s’en amusait vu qu’elle était toujours désemparée. Un coup oui, un coup non, mais en tout cas toujours heureux. Après s’être vautré au sol et avoir souri de toutes ses dents comme un môme, il li annonça avec emphase qu’il avait retrouvé Emma, son chat chéri d’amour, qui était caché quelque part. Vu le début de sa phrase, les serres. Sauf qu’il se jeta comme une brute sur les gâteaux que Lucy venait de sortir, lui tirant un petit rire. Alors qu’elle lui faisait remarquer qu’elle ne voulait pas de commentaires, il repartit à l’assaut, lui disant qu’elle aurait pu lui éviter de crever de faim, et aussi que … QUOI ?! Déroutée par le manque de tact de son camarade, Lucy ouvrit de grands yeux de hiboux, avant de baisser son regard vers son ventre plat, et le relever vers son ami. Oui bon, son ton était léger et amusé donc il la charriait, mais quand même, Lucy, comme toutes les filles, faisait attention à sa ligne. Lui dire franco qu’elle a grossi n’est pas la meilleure manière de rester dans son cercle d’amis, par contre c’est assez utile pour se prendre un aller-retour de claques. Ne le gifle pas, c’est ton ami. Alors qu’elle allait lui poser une question, il reprit la parole pour dire qu’Emma était coincée dans la serre – tu m’en vois ravie, Aaron – et patati et patata, pendant que Lucy tendait machinalement sa main pour la poser sur la main gauche de son ami et la plaquer doucement au sol pour qu’elle arrête de trembler.

« Je suis contente pour toi, tu as du t’inquiéter pour elle. C’est vrai que si Baron fuguait plus de trois jours je commencerais à m’inquiéter un peu aussi. »

Et pas une remarque sur sa main tremblante. D’ailleurs, Lucy avait enlevé sa main pour la reposer dans l’herbe et se stabiliser, en profitant pour se redresser. Aaron tendit la main, attrapa un bouquin et commença à le feuilleter avec sérieux, toujours avec sa petite mimique de garçon qui va faire une bêtise. Au bout de quelques instants il reprit la parole, pour lui dire que ça avait l’air intéressant mais qu’il n’y comprenait rien du tout, faisant lever les yeux de la rouquine au ciel. Non mais alors celui-là, s’il n’existait pas il faudrait l’inventer.

« Oui ça va, je me suis bien renseignée. Il y a plein de trucs intéressants là-dedans, la bibliothèque de Poudlard est vraiment bien fournie. »

Elle esquissa un petit sourire avant de reprendre.

« Travailler avec toi ? Oh non, c’est hors de question hein, déjà que tu vas terroriser tes patients avec tes manières de rustre, il est hors de question que tu fasses peur aux miens. »

Elle laissa flotter un petit sourire amusé sur son visage, avant de récupérer le second livre au sol pour le ranger dans son sac. Et brusquement, alors qu’elle n’y réfléchissait pas, la phrase qui tournait en rond dans sa tête finit par sortir inopinément, alors qu’on ne lui avait rien demandé. Oh la vilaine phrase rebelle. Le tout avec son air sérieux habituel, donc attention à ta réponse Aaron, si tu gaffes tu vas la prendre, ta baffe.

« Tu trouves vraiment que j’ai grossi ? »
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MessageSujet: Re: “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”    “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”  Icon_minitimeDim 28 Aoû - 15:17

Ce n’est pas vrai, j’ai dix-sept ans moi. Mentalement ? Ca dépend des jours. Oui bon, d’accord, je l’admets ... peut-être bien un peu moins. Juste un peu. Oh et puis, il y a quoi de mal à ça, hein ? Faut profiter de la vie tant qu’on est jeune ! Vous ne trouvez pas ? Lui si. Et ça se voit. Aaron s’assit lourdement en face d’elle, sans répondre par autre chose qu’un sourire espiègle, et ne se gêna pas à se goinfrer de biscuits quand son amie sortit ceux-ci de son sac. Autant qu’il n’hésita pas à faire semblant de lui en vouloir de ne pas lui avoir dit plus tôt qu’elle se promenait avec du manger dans ses affaires. Contrairement à ce qu’il pensait, sa réaction fut en partie différente de celle qu’il avait prévue. Lucy ne répondit pas. Non ... elle ouvrit de grands yeux quasi-choqués. Bah quoi, j’ai dit quelque chose de mal ? Il prit un air du genre ‘je-ne-comprends-pas-ce-qu’il-se-passe’ avant de noter que son regard passait de son ventre relativement plat à lui. Oh. Si monsieur Haldane était un vrai gamin dans l’âme, il n’était pas stupide. Il comprit de suite qu’il l’avait vexée. Olalalah, mais je ne voulais pas dire ça, ce n’était pas sérieux ! Gêné, bien qu’il ne le montra pas, il changea de sujet comme si de rien n’était tandis que sa main commençait à trembler. Il y eut un silence de deux secondes durant lequel Lucy posa sa main gentiment sur la sienne, stoppant ainsi le tremblement tout en ne disant pas un mot sur le sujet. Reste comme ça, steuplait, tu me rends service ! Ses yeux verts la remercièrent alors qu’elle lui répondait simplement, faisant remarquer qu’elle aussi aurait eut peur si son propre chat, Baron, avait disparu. Il était gentil Baron. Autant que Emma. Ils s’entendaient plutôt bien, au fait.

« J’adore Baron ♥ ! »

Euh ouais, un peu rien à voir, mais bon, ne cherchez pas à comprendre, Aaron, c’est Aaron. Les chats, c’est mignon, et c’est gentil. Enfin, ça dépend lesquels. Celui d’un type Poufsouffle avait vraiment sale caractère. M’enfin bref. Lucy retirant sa main pour ne pas tomber sur le dos, se stabiliser quoi, il décida instantanément de s’occuper les mains en s’emparant d’un des deux livres de son amie. Feuilletage ... intéressant, intéressant ! Enfin, moins que la psychologie, mais il respectait les préférences de sa compagne Gryffondor. Parce que ouais, Aaron ne voit pas pourquoi ce serait mal que Lucy préfère une autre branche de la médecine que lui, alors que des gens débiles en feraient tout un fromage. Tant qu’on y est, le jeune homme est aussi très ouvert et respectueux. Il n’en strictement rien à battre que vous soyez noir ou blanc ; sang-mêlé, sang-pur ou né-moldu ; que vous ayez un handicap – pas étonnant vu qu’il se classe d’une certaine manière dans cette catégorie, une malformation physique ou que vous soyez parfaitement normal ; et cetera. Il s’en fiche. Il ne voit aucune différence. Aaron est peut-être un gamin dans sa tête, il n’est pas pour autant un imbécile détestant les gens pour leurs différences. Il est mature de ce côté. Et ça, personne ne peut le nier.

Il lui fit alors remarquer que ça avait l’air intéressant, même s’il ne comprenait pas grand-chose, avec son habituel et adorable air de gamin. Aussi que ça allait être vachement bien lorsqu’ils bosseraient côte à côte. Ce à quoi elle répondit que la bibliothèque était bien fournie. Il hocha vivement la tête, d’accord. Mais elle n’avait pas finit, non. Avec un sourire amusé, elle ajouta que travailler avec lui était hors de question. Ah mais moi je veux bosser avec toiiii ! T__T

« Tu me sous-estimes, je suis sur que je serai un psychologue de la mort-qui-tue-tout ! Mais d’accord, d’accord, faudra pas venir te plaindre quand tes patients mourront de dépression parce que je ne suis pas là, heiiin ! »

Il la regarda ranger le second livre avec un sourire. En fait, il sourit tout le temps ce type, faut pas chercher. Ah non, puisqu’il arrêta de sourire bêtement quand Lucy posa LA question qui semblait ne pas la lâcher depuis qu’il avait squatté ses biscuits. Hein ? S’il trouvait qu’elle avait grossi ? Rah, il aurait du se douter que ça l’avait plus perturbée qu’il ne le pensait ! Roh, il n’était vraiment pas doué avec les trucs de filles. Il n’y comprenait rien. Enfin bon, c’est un mec aussi, ça peut se comprendre.

« Euuuuuh. »

Il fixa le ventre de sa meilleure amie qui avait vraiment l’air de tenir à ce qu’il réponde correctement. Dis pas de conneries ou tu vas te faire taper ! Bah non, elle n’était pas grosse. N’importe quoi. Elle était même très très très bien. Bon ça il ne le dirait pas, mais il le pensait. Il eut un sourire sincère et une voix du genre de ceux qui essaient de rattraper une jolie gaffe.

« Non pas du tout ! T’es super je te jure ! J’étais pas sérieux, je te le promets ! T’es très bien ! »

Il déposa le livre au sol et posa ses mains sur ses genoux et regarda la gauche qui recommençait à trembler – va falloir s’y faire hein -, faute d’action, comme un petit garçon qui se sent coupable d’une bêtise. Pardon pardon pardon ! Je ne voulais pas te vexer ! Non mais regardez-le qui prend la chose très au sérieux, si c’est pas mignon. On reconnaît bien là le genre de gars qui ferait du mal à quelqu’un pour rien au monde.

« Désolé. Vraiment. »

Il leva ses yeux verts vers elle avec un air de chien battu. Pardonne-moiii. ;__; Puis même si t’étais grosse, je t’adorerais quand même ♥ Bien décidé à changer de sujet, il la regarda à nouveau, cette fois plus détendu mais un peu sérieux quand même vu que la question – qui venait de lui venir à l’esprit à cause de la ‘petite’ gourde qu’il venait de commettre concernant le poids de son amie – était quand même importante pour lui.

« Tu crois que j’ennuie les gens ? J’crois que certains me trouvent bizarre. Avec ma main, mes manières, tout ça. J’y prête pas attention, hein, mais je me demande quand même. Dis, Lucy, tu me trouves ennuyant, toi ? »

Quand je vous dis qu’il peut être un minimum sérieux quand c’est important. Il faut s’amuser, faire le con, le gamin, rigoler, mais parfois il faut aussi revenir à la réalité. Il ne faisait pas le dramatique en disant ça. C’était plutôt comme si la chose était à titre ... informatif. Oui voilà. Informatif. Un sourire – pas excité, calme malgré tout - et une pioche dans le sachet de biscuits pour le faire comprendre, yeah !
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“L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”  Vide
MessageSujet: Re: “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”    “L'ouvrage a toujours l'air facile, quand le travail est un plaisir.”  Icon_minitimeMer 21 Sep - 12:57

Aaron se comportait comme un gamin. D’un côté, Lucy avait l’habitude de le voir faire ses volte-face avec de grands sourires réjouis, et ne se formalisait plus de son caractère taquin et léger. D’un côté, monsieur est son meilleur ami, il vaut mieux qu’elle s’y habitue de suite. Mais bon, depuis qu’elle le connaissait, à savoir plus de sept ans vu qu’ils sont voisins, la préfète avait eu le temps de s’y habituer et le caractère taquin d’Aaron lui manquerait beaucoup si elle venait à être séparée de lui. Ok, ce couillon venait de mettre les pieds dans le plat en parlant du poids de Lucy mais c’pas bien grave, on l’aime quand même. Elle était choquée face à tant de manque de tact, surtout venant de sa part, et ne put pas empêcher son regard de bouger machinalement de son ventre plat à lui. Quoi, quoi, qu’est-ce qu’il a mon ventre vilain, tu l’as vu le tien d’abord, hein ? La conversation dériva très rapidement, d’abord parce qu’Aaron venait de se rendre compte qu’il avait – encore – gaffé, et ensuite parce que Lucy refusait de parler de son poids à un garçon, fut-il son meilleur ami. La seule personne avec qui elle se plaignait qu’elle avait grossi, que ce soit vrai ou non, c’était Roxanne, qui renchérissait allègrement qu’elle aussi ressemblait à une énorme baleine. Bref. Aaron lui parla d’Emma – son chat qui avait disparu et qu’il venait de retrouver – et Lucy esquissa un sourire, sachant à quel point son camarade s’inquiétait quand boule de poils disparaissait trop longtemps. Elle-même n’avait pas trop de problèmes avec Baron, chat indépendant au possible qui revenait pour les caresses et les papouilles avant de repartir parce que c’est un grand garçon maintenant. Aaron répondant avec un grand sourire qu’il adorait Baron ne tira même pas une remarque à Lucy, habituée aux frasques de son meilleur ami depuis le temps. Aaron, lui, avait décidé de s’occuper des mains pour que la gauche ne recommence pas à trembler, et il attrapa un bouquin de cours pour le survoler avec un petit air enfantin tout à fait craquant. Lucy, pendant ce temps, rangeait ses bouquins en levant de temps en temps les yeux pour vérifier que tout se passe bien alentours.

« Mes patients, mourir de dépression ? Qu’essayes-tu d’insinuer, que je suis ennuyeuse à en mourir, c’est ça ? Grossier personnage ! »

Prenant de grands airs de duchesse complètement faux, elle récupéra le bouquin pour lui taper sur la tête avec, avant de le ranger dans son sac et de tirer sur les manches de son manteau de coton. Bah oui, c’est qu’elle a froid après avoir pris la pluie dans la tête, la miss ! Puis sans réfléchir, Lucy lâcha la question qui la taraudait, à savoir, est-ce que tu trouves vraiment que j’ai grossi mon très cher Aaron, sois franc tu es mon meilleur ami. Le grand Gryffondor arrêta de sourire bêtement et la regarda fixement, comme surpris qu’elle lui pose cette question. Le regard d’Aaron tomba machinalement sur son ventre, et Lucy se retint de le suivre, fixant bêtement son ami. Allez, ne fais pas durer le suspense vilain garçon, répond à la madame. Aaron se rattrapa bien vite, lui offrant un sourire maladroit et sincère, avant de lâcher à toute vitesse que non pas du tout, qu’elle n’aurait pas du prendre ça mal, qu’il n’était pas sérieux et qu’elle était super bien. Et super. Hm, super jolie (a) ? Ne nous égarons pas XD. Il prenait ça très au sérieux, plus qu’elle d’ailleurs, vu qu’il regarda sa main qui tremblait avec un air gêné. Lucy ne fit aucun mouvement pour poser sa main sur celle d’Aaron, même si elle aurait pu, et le Gryffondor finit par lui envoyer son regard de chien battu absolument fondant en lui disant qu’il était vraiment désolé. Lucy ne s’attendait pas du tout à ça. Elle le fixa bêtement avant de sourire en se mordant la lèvre pour ne pas rire, charmée par ses airs de gamin.

« Ahlala Aaron, t’es vraiment … Un gamin. »

Elle esquissa un grand sourire amusé avant de reprendre un gâteau – bah quoi elle a faim – et le mâchonner distraitement en rouvrant le cours de sa prof pour finir de le lire, pendant qu’Aaron réfléchissait. Il allait lui poser une question, elle le sentait, et elle lui laisserait le temps nécessaire pour … Il reprit la parole d’un ton calme et pour le moins naturel, lui demandant s’il ennuyait les gens avec ses manières, son caractère foufou, sa main qui tremble, le fait que les gens le trouvent bizarres. Il lui demanda très naturellement si elle le trouvait ennuyant. Haussant les sourcils, la rouquine leva les yeux, cala une mèche derrière son oreille, replia son cours et prit le temps de réfléchir à ce qu’elle pourrait bien lui dire. Euh non, elle ne le trouvait pas ennuyant du tout.

« Euuuuuh. »

A chacun son tour de chercher ses mots, hein Aaron ?

« C’est surprenant, cette question ! Tu as peur du regard des autres maintenant ? Je veux dire, si les gens te trouvent exaspérant pour ton caractère foufou, tant pis pour eux, tu ne vas pas devenir pompeux à mourir pour leurs beaux yeux non ? »

Lucy étira un peu ses jambes en mode pin-up sorcière – Olé XD – et s’appuya de ses deux mains dans son dos. Il ne manque plus que les lunettes de soleil pour l’attirail spécial bronzage. Quoiqu’il fait un peu trop frais pour bronzer, raison pour laquelle elle portait son manteau en coton.

« Puis, quelle question, pourquoi est-ce que je te trouverais ennuyeux ? Tu es nature, c’est ça qui est bien. Tu remontes le moral des gens, tu es doux comme une peluche, tu es marrant et sérieux à la fois, tu aides les gens dans le besoin, tu … Ouais bon, je vais arrêter de faire ton éloge ou tu vas prendre la grosse tête ! »

Elle lui envoya un grand sourire ironique avant de reprendre un gâteau juste après lui, recommençant à mâchonner distraitement, pensant à plusieurs choses à la fois, surveillant les alentours pour bien être sûre que tout se déroulait à merveille, du moins dans son champ de vision. Après, le reste … Elle n’a pas des yeux cybernétiques non plus. Récupérant son cours, elle le rouvrit pour recommencer à lire, ce qui ne l’empêchait pas de discuter avec son meilleur ami. Elle est multifonctions la Lucy, pire qu’un couteau suisse XD. La soif se faisant sentir, la rouquine tira son sac à elle et fouilla dedans pour chercher de l’eau, et n’en trouva pas. Blasphème, horreur, elle a oublié sa bouteille d’eau dans la salle commune ! Lâchant un grognement de dépit, la Gryffondor leva les yeux vers son meilleur ami.

« Aaron, dis-moi que tu es un super beau gosse prévoyant et que tu as une bouteille d’eau sur toi. Dis, dis, dis *o* »

Et c’est au tour de Lucy de lâcher le regard de chien battu XD.
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