Callie L. Waldengryffondor ◈ courage, force et hardiesse
✔ date d'inscription : 26/12/2010 ✔ prénom/pseudo : Elodie & Shakespearette ✔ âge : 29 ✔ nombre de messages : 1068 ✔ avatar : Amy Adams ✔ copyright : © hexactic ϟ âge : seize ans ϟ sang : ϟ maison : Gryffondor ϟ baguette : bois d'aubépine, plume de phénix, 22,7cm ϟ grade particulier : préfète ϟ appartenance aux clubs : fondatrice de l'Armée pour l'égalité ϟ patronus : un somptueux phénix ϟ épouvantard : le professeur trelawney annonçant la prophétie que Callie connaissait maintenant par coeur br>
| Sujet: CALLIE L. WALDEN ◈ tonight, we are young Jeu 22 Déc - 12:40 | |
| “ Callie Lux Walden „ ft. Dianna Agron | → âge ; 16 ans → date de naissance ; 28 mai 2004 → lieu de naissance ; Godric's Hollow → nationalité moldue ; Anglaise → lieu de résidence ; Godric's Hollow → situation amoureuse ; célibataire Caractère attentionnée, travailleuse, courageuse, aventureuse, serviable, souriante, boute-en-train, soigneuse, jalouse, têtue, déterminée, franche, curieuse |
Tes souvenirs deviennent miens Les rayons filtraient tendrement à travers les rideaux et le calme régnait dangereusement dans la maison. Ces traits de lumière éclairaient de façon méliorative les nombreux cadres photos qui ornaient les différents meubles du salon, à côté des livres anciens et des objets de collection. Assise sur le canapé, Callie fixait une photo d’un œil et remarquait de l’autre que sa sœur en faisait de même. Elles avaient toujours été comme cela, connectées par un lien qui faisait d’elle des miroirs l’une pour l’autre. Engageant alors la conversation sur leur soudaine fixation, Callie se prit au piège dans un cercle vicieux composé de témoignages, de souvenirs et de réactions.
“Hey Liz’ j’me demande si j’étais aussi chiante que toi quand j’suis née. N’empêche avoue-le t’étais pas mal chiante jusqu’à tes dix ans !” “C’est ça Callie, embête moi que je te tape un peu. Si j’étais chiante tu l’étais aussi parce qu’on est jumelle j’te le rappelle au cas où t’aurais oublié !” “Non je n’ai pas oublié et c’est bien dommage faut dire ! J’peux pas me débarrasser de toi c’est fou !”
Dépassée par ces soudaines boutades entre ses deux filles, madame Walden, de son prénom Leanna, vint s’installer dans le canapé à côté d’elle et les interpella.
“Vous avez beau vous embêter et dire n’importe quoi, je me souviendrais toujours de votre enfance. Vous étiez deux formidables petites filles nées ce 28 mai 2004, sous une chaleur insoutenable dans le petit hôpital de la ville. Quand le médecin m’a annoncé que vous alliez bien et que je pourrai vous voir dans une à deux heures j’étais au bord des larmes et cela ne s’est pas calmé avec le temps. Quand je vous ai vu, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps. Je me souviens t’avoir prise en première Callie, et ton père te portait Lizzie. C’est exactement la photo qui se trouve sur le meuble de la télévision. (en riant) Nous avions demandé à l’infirmière de la prendre cette photo. Je m’en rappelle encore. Dans tous les cas, quand vous êtes allées dormir à la nurserie vous étiez déjà les plus calmes des bébés, les infirmières avaient peur que vous soyez malades tellement vous ne réclamiez que très peu d’attention. Sage et en bonne santé comme vous l’étiez, nous sommes très vite rentrées à la maison et sans problème notre vie avançait pendant que la vôtre commençait. Vous faisiez bien vos nuits, vous mangiez bien, vous étiez de véritables anges.” “Autant que ça ? Et tu te souviens de nos premiers pas ? Je n’en ai aucun souvenir.”
Leanna se leva et chercha dans un meuble une bassine en or massif orné de joyaux en tout genre. Elle attrapa également un tube qui contenait une substance argentée et elle le versa dans la bassine remplie d’eau. Callie et Elizabeth connaissaient bien cette « machine » si l’on pouvait l’appeler comme cela ; en réalité c’était une Pensine. Leanna sortit sa baguette et mélangeant l’épais liquide gris avec l’eau, elle fit signe à ses filles qu’elles pouvaient se perdre dans les souvenirs quand elles le souhaiteraient. D’un signe de tête, les deux jeunes filles se prirent la main et se penchant en avant partirent quinze ans plus tôt, à l’aube de leur un an.
ಞ ಞ ಞ Callie était assise sur la petite chaise en bois qui se trouvait dans le jardin et Elizabeth était dans les bras de son père quand ce dernier décida de la poser à terre. Déclarant avec beaucoup d’optimisme que ses filles marcheraient avant l’âge de un an, il mit sa fille sur ses deux pieds et désignant Callie du doigt, il incita Lizzie à rejoindre sa sœur sur ses deux pieds.
“Allez ma chérie, à toi maintenant, va rejoindre Callie jusqu’à là-bas en marchant sur tes deux petits petons. On ne t’a pas acheté de belles chaussures pour que tu ne les uses pas !”
Pleine d’ambitions et de détermination, Elizabeth fit un premier pas en avant, puis deux, puis trois, puis quatre … Callie était en admiration devant sa petite sœur et voulant à tout prix faire pareil, elle se leva par ses propres moyens de sa chaise et commença à son tour à s’avancer vers sa sœur, un premier, un deuxième, un troisième … Toutes deux arrivaient tellement vite l’une sur l’autre, en quelques secondes Elizabeth finit sur le dos et Callie sur les fesses, Elizabeth avec une bosse à la tête et Callie avec une coupure aux doigts. Plus de peur que de mal, elles avaient appris de leurs erreurs et étaient maintenant de vrais surdouées comme l’avaient toujours voulu leur père.
ಞ ಞ ಞ Sortant de la Pensine à la fin du souvenir, Peter, leur père les avait rejointes. Elizabeth savait que c’était son tour d’aller chez tante Myrielle pour lui apporter à manger mais elle avait retardé ce moment au maximum et papa venait la rappeler à l’ordre. Quittant le salon en rechignant elle fit un bisou à Callie et partit d’un pas traînant. Callie continua alors sur sa lancée.
“Dis maman, quand est-ce que j’ai manifesté les premiers signes de magie en moi ?” “Moi je peux te le dire si tu veux !” “Bah vas-y papa ! Tu fais exprès de garder le suspense ou quoi ?” “Hum ! Bref, c’était chez tante Myrielle. Elle te faisait toujours un tas de bisous à chaque fois que l’on venait, à Elizabeth aussi à vrai dire. Dans tous les cas, ce jour là, elle avait laissé sur tes joues d’horribles marques rouges sanguines et tu ne semblais pas contente de cela. Alors fixant le pot en verre où elle rangeait tous ses rouges à lèvres, tu as serré les points et plus rapidement que l’on ait pu dire « Callie non » tu avais fait renverser tout le contenu dans la poubelle de déshydratation. C’était quand tu avais trois ans il me semble.”
Riant à sa sublime crise de nerf, Callie remercia son père et sa mère de lui avoir raconté tous ces souvenirs. Elle rejoignit sa chambre et se coucha sur son lit, réfléchissant un peu à ces moments de bonheur, et fermant les yeux, elle se perdit dans des souvenirs ou plutôt des songes rêveurs.
ಞ ಞ ಞ Callie était dans le Poudlard Express. Il était bondé et certaines personnes n’étaient pas du genre à vouloir laisser passer les autres. On se faisait piétiner et l’on finissait tant bien que mal à trouver une cabine. Callie, elle, s’était séparée de sa sœur Elizabeth il y a quelques minutes car une cabine disposait encore d’une place et que Callie l’avait généreusement proposée à sa sœur. Poursuivant donc sa route, elle arriva presque au bout du train quand elle trouva enfin une cabine où il y avait des places libres. Un jeune homme était déjà assis du côté fenêtre dans le sens de circulation et observait le paysage qui défilait par la fenêtre. Se raclant légèrement la gorge pour attirer l’attention de son interlocuteur, elle finit par dire :
“Salut ! Excuse moi de te déranger, mais il n’y a plus de places dans les autres cabines. Je peux m’installer à côté de toi ? Je serais discrète promis.”
Le jeune garçon acquiesça. Mais il faut dire que Callie n’était pas vraiment du genre à garder sa langue bien longtemps. Elle avait déjà dévisagé son camarade de cabine de la tête au pied, et son visage lui disait vaguement quelque chose. Toutefois, elle fit de son mieux pour ne pas rompre le silence. Se retenant au maximum, la jeune blondinette finit par engager la conversation lorsque le train traversa un pont.
“Dis ! Tu n’aurais pas un lien de parenté avec le célèbre Harry Potter toi ? Tu lui ressembles fortement !” “Hum. Et bien je n’aime pas le dire mais ouais. Je suis son fils. James Sirius Potter. Et toi tu es ?” “Callie Lux Walden et super bavarde, j’en suis désolée. J’ai essayé de me retenir jusqu’à l’arrivée mais c’était beaucoup trop long pour moi !” “Oui j’ai vu ça ! Et alors, c’est ta première année à Poudlard ?” “Oui ! Mais je suis là avec ma sœur ! Avec elle je n’ai pas peur de finir seule dans l’école.” “Ah ouais ! Et elle est à quel niveau ?” “C’est ma sœur jumelle donc on ne sait pas encore l’une comme l’autre dans quelle maison on va finir. En tout cas, toi je parierai que tu iras à Gryffondor.” “Je ne sais pas … Mais j’espère …”
Callie sourit de plaisir. James était quelqu’un de très gentil aux premiers abords. Et au fond d’elle, elle aussi espérait qu’elle irait à Gryffondor ; c’était la maison de son père et elle l’avait toujours admiré. Le songe s’évanouit tout doucement …
ಞ ಞ ಞ “Tu es courageuse … déterminée … et courageuse aussi … mais tu es également dotée d’une véritable ruse et de beaucoup de méthode. J’hésite … Je ne sais pas ! … Bon, je pense que tu seras mieux disposée à développer tes qualités à … GRYFFONDOR !”
Callie enleva le chapeau, décoiffant ses doux cheveux blonds et sous les applaudissements de ses futurs camarades de maison, elle marcha d’un pas décidé vers la longue table des Gryffondor. Elle agitait les bras le long de son corps menu et était satisfaite d’avoir rejoint la maison qu’elle désirait tant …
Dis moi qui tu es, révèle moi tous tes secrets | → prénom/pseudo ; Elodie & Shakespearette → âge/date de naissance ; 28 mai 1994 → niveau rp ; 50 lignes environ → présence hebdomadaire ; 3/7 minimum → comment connaissez-vous PT ? Comment le trouvez-vous ? ; je ne vais pas vous le dire → "harry potter", ça vous évoque quoi ? ; mon enfance, une passion → copyright pour l'avatar et l'icon de votre présentation ; primple → code ; oups je sais pas |
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