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| Sujet: Luke Gabriel Fenwick (Terminé) Ven 22 Juil - 8:01 | |
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Dossier ELEVE-PPN-ADN
| Luke Gabriel Fenwick
Age 13 ans Date de naissance 21/05/2007 Lieu de naissance Londres Nationalité moldue Anglais Lieu de résidence Londres Situation amoureuse Rien de très suivi pour le moment Caractères Patient ; Agréable ; Décidé, voire acharné ; Débrouillard ; Intelligent ; Curieux ; Observateur ; Circonspect ; Serieux
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Magiquement vôtre De quel sang êtes vous ? Sang-pur. Uke est issu d’une vieille famille de sorciers, et ses parents sont (ou plutôt était, pour sa mère) titulaires de postes enviables.
Pour les élèves appartenant déjà à des maisons (c'est-à-dire les postes vacants), quelle est-elle ? Serdaigle, comme son père avant lui
Quelle baguette mister Ollivander, ou mister Gregorovitch vous a-t-il vendu ? Ou bien, quelle est la baguette que vous avez hérité de vos aïeuls ? (bois, cœur, taille, principale qualité) Bois de frêne, ventricule de dragon, 26 cm. Acheté chez Mr Ollivander, la veille de son entrée à Poudlard
Si vous aviez la capacité de créer un Patronus, quelle forme prendrait-il ? Un ours. Pas un grand grizzli, non, plutôt un ours brun.
En rangeant un peu les armoires pleines de poussières de la maison de votre grand-mère, vous tombez sur un épouvantard, en quoi se transformerait-il ? L’épouvantard représenterait sans doute le néant, la solitude. En effet, c’est l’une des plus grandes peurs de Luke : se retrouver seul, mis à l’écart, ignoré du monde.
Quelles sont vos matières de prédilection ? (potions, défenses contre les forces du mal, astronomie, sortilèges ...) En sortilèges, il a toujours été doué. En astronomie aussi, mais parce que cela l'interesse particulièrement et qu'il peut passer de longues heures à étudier et se documenter, juste pour le plaisir de le faire
Si vous êtes en 6ème ou 7ème année, quelles matières avez-vous choisi pour tes ASPIC, combien de BUSE avez-vous eu, et quel métier désirerez-vous faire plus tard ? /
Avez-vous un talent particulier ? Luke est très observateur. Ce n’est pas un don, mais plutôt un talent qu’il se plait à exercer. Du coup, il sait aisément deviner quand on cherche à lui mentir… même si ça ne marche pas à tous les coups. C’est plus une habileté qu’un talent, en fait, mais le jeune garçon compte beaucoup dessus.
J'avais pris ce livre pour me distraire ... C’est à l’hôpital de Sainte Mangouste que le petit Luke vit le jour. Luke Gabriel Fenwick, deuxième enfant (et deuxième garçon) de la famille, ainsi nommé par son père, tout fier de tenir enfin son fils dans ses bras. Son petit deuxième, il l’avait attendu avec impatience, et son deuxième prénom, Gabriel, était plus un surnom qu’autre chose : dans le ventre de sa mère, l’enfant était d’un calme olympien, et ses parents l’appelaient affectueusement « mon petit ange ». Et comme Ange sonnait assez bizarrement, ils optèrent pour Gabriel. Avec les années, le côté sage et calme du petit Luke ne changea pas : tout petit déjà, il aimait rester de longues heures sous son mobile magique qui projetait des étoiles, et gazouillait jusqu’à s’endormir paisiblement. Un bébé calme et serein, qui devint, quelques années, un garçonnet tout aussi calme, mais beaucoup moins serein !
Le grand plaisir de Luke, c’était de poser des questions. Dès qu’il eut l’âge de parler, il s’intéressait à tout ce qui l’entourait, et les questions auxquelles ses parents ne pouvaient répondre, il les adressait à son grand frère. Cléo, son modèle, son ainé de quatre ans, qui avait toujours réponse à tout (quoique, pas sûr que la réponse soit exacte à chaque fois). Luke l’idolâtrait, et, bien que d’un tempérament plus réservé que son aîné, il n’hésitait pas à le suivre les yeux fermés, quitte à enchaîner bêtises sur bêtises. A ce duo infernal vient bientôt s’ajouter une petite sœur, qui, en tant que petite dernière, fut choyée unanimement par toute la famille. Bien que ravi de devenir à son tour grand frère, c’est à ce moment là que l’enfant commença à se poser des questions sur sa place dans la famille : il n’était plus le petit dernier à dorloter, et il n’avait jamais été le plus grand, le plus brave ou le plus doué. Alors, il devenait quoi, exactement ? Luke développa alors, petit à petit, une peur grandissante de ne plus être aimé. Il se colla aux basques de son grand frère comme jamais, essayant de l’imiter dans chacun de ses mouvements… mais bien sûr, il était encore trop jeune pour développer les mêmes capacités que son aîné, ce dont il s’aperçut bien vite. Du coup, il se mit à étudier beaucoup plus durement, à travailler sans relâche, et découvrit, à son grand étonnement, qu’il aimait ça.
Evidemment, il avait toujours était patient et observateur, demandeur de connaissances. Mais ce trait de caractère se renforça, et il se lança avec acharnement dans des sujets d’études de plus en plus complexes, histoire de bien montrer à sa famille que, même s’il n’avait pas les capacités magiques de son grand frère, il n’était tout de même pas un moins-que-rien. Car, à son grand dam, la magie se révéla tardivement en Luke. A huit ans, il était bien incapable de faire ce que Cléo faisait au même âge. Il comprenait la théorie, certes, mais la pratique tardait, et plus elle tardait, plus il désespérer d’exister aux yeux de ses parents. Pourtant, ces derniers ne faisaient pas de distinction entre leurs deux fils, et l’aîné, lui non plus, ne dédaignait pas son petit frère. Mais ce sentiment de ne pas exister, de n’être pas aussi doué, aussi « voyant » que son frère et sa sœur, petite dernière choyée, était bien ancré dans le garçonnet. Même sans fondement véritable, il avait peur d’être rejeté, de n’être plus rien. Le néant. Du coup, à six ans se développa une peur panique du noir et de la nuit. Pour la combattre, son père lui proposa de s’initier à l’astronomie : une révélation pour l’enfant, qui se mit à étudier avec passion les astres et les planètes.
Heureusement, ce sentiment d’infériorité que Luke ressentait par rapport à son frère, sorcier doué et élève modèle, n’entrava pas les relations des deux garçons. Cléo avait toujours été son modèle, et depuis l’incident de Londres, l’enfant lui vouait une passion encore plus dévorante, qui pouvait même, parfois, s’avérer étouffante. Quand son aîné intégra Poudlard, l’année des sept ans de Luke, ce dernier se jura de marcher sur ses traces, et de devenir lui aussi un sorcier brillant. Il se mit à travailler d’arrache-pied, encore plus que d’habitude. Ses capacités magiques elles aussi se révélèrent, et Luke persévéra dans ses études : avant même d’atteindre l’âge requis pour entrer à l’école, il avait atteint le niveau demandé. Pour cela, il ne cessait d’harceler ses parents, mais surtout son frère aîné, qui, déjà à Poudlard, pouvait ainsi le renseigner.
Finalement, ce ne fut une surprise pour personne quand Luke reçut sa lettre, et encore moins quand, à peine le Choipeau posé sur sa tête, ce dernier l’envoya chez les Serdaigle. La maison de son père, celle des érudits, des travailleurs… même s’il était rare que des frères ne soient pas envoyés dans la même maison, cela arrivait parfois, et ce fut le cas pour les deux Fenwick. Pour Luke, si sûr de marcher sur les traces de son frère, ce fut d’abord une immense déception, une vraie douche froide. Mais, comme le lui susurra à l’oreille le vieux chapeau rapiécé, c’tait au contraire une chance de faire ses preuves, une chance aussi d’exister par lui-même et d’éblouir son entourage par ses capacités.
Effectivement, Serdaigle était bien la maison qui convenait à Luke. Il se sentait parmi ses camarades comme un poisson dans l’eau, et ne tarda pas à se faire des amis. Il avait toujours été d’un bon caractère, même s’il réfléchissait toujours beaucoup avant d’agir… sauf si son frère était le meneur ! Plutôt suiveur qu’exécuteur, l’enfant été apprécié, grâce à son caractère facile et son goût immodéré pour l’étude, qui le conduisait parfois à franchir quelques limites : non, on ne pose pas trente-six milles questions à un cours ! Curieux de tout, intéressé et travailleur, le jeune garçon trouva en Poudlard une deuxième maison, et en ses camarades une deuxième famille. Pourtant, il était toujours aussi proche de son grand frère, qu’il admirait toujours autant, et auprès de qui il s’immisçait parfois, quitte à jouer les petits frères emmerdeurs. Très observateur, Luke avait la manie dérangeante de remarquer ce qu’on voulait lui cacher, et même pour un grand frère idéal, cela devait être, parfois, légèrement agaçant. Cette année, en tout cas, s’annonce prometteuse pour le petit. Sa sœur cadette entre elle aussi à Poudlard, et avec trois Fenwick dans les lieux, l’année s’annonçait géniale !
Repello Moldum **tapote le micro** Hum hum… un deux un deux…. Ça marche là ? Bon, que dire de moi ? J’aime pas parler de moi en général, je n’ai jamais grand-chose à dire. Pas que je sois une personne inintéressante, hein, je vous vois venir. C’est juste que je ne sais jamais quoi dire, en fait. Alors… je m’appelle Céline, je suis né un 16 novembre d’une certaine année. Vous pouvez me le souhaiter, hein, j’aime bien qu’on me souhaite mon anniversaire. Sinon, mon avatar, c’est Colin Ford. Colin Ford, quoi !! Bon, j’avoue, sur le coup, je me suis dit : « tiens, je connais cette tête, je connais ce nom, où je l’ai vu cet acteur ? » Il m’a fallu quelques secondes pour saisir : SPN, quoi ! Le petit Sammy ! Ce gamin joue vraiment bien je trouve, même si (je trouve aussi), il a un accent de je-sais-pas-où qui fait que je ne comprend quasiment rien quand il parle. Bref, l’avatar que Cleo proposé dans son pv me convenait à merveille ! Et puis, j’aime bien piocher dans les scénarios, ça me plait de commencer avec des copains^^ Sinon, je suis ici grâce à la pub sur PRD. J’aime bien jeter un coup d’œil sur les nouveaux forums, et j’aime bien les HP qui se passent dans le futur, ça nous laisse tout imaginer. Sinon, critique du forum… il est superbe visuellement, et j’ai hâte d’y jouer pour voir ce que ça donne ! (Oui, je suis aussi nulle en critique qu’en présentation, c’est pas de ma faute.) Quand à mon taux d’activité… trèèèès variable, selon un élément indépendant de ma volonté, mais j’essayerai d’être présente dès que possible. Je peux mener plusieurs vies de front, même pas peur ! Heu…c’est où qu’on met le code ? Celui là : LGF ♂ 21/07/2011
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